La société Yann ABEILLE CONSULTANT est également force de propositions quant au dépérissement alarmant qui touche le vignoble et affecte la rentabilité des exploitations.
Les facteurs du dépérissement sont multiples provenant de la qualité et du choix du plant dès la plantation en passant par l’itinéraire technique du plantier, les pratiques culturales. D’autres causes sont impliquées comme les agressions biologiques (champignons pathogènes, virus…), l’environnement sociotechnique (cahier des charges, certifications…) et le changement climatique (élévation températures, sécheresse).
En préventif ou en curatif, nous sommes en mesure de répondre à cette problématique de manière concrète et respectueuse de la santé humaine et de l’environnement :
Le greffage :
Pour éviter les blessures traumatisantes et assurer la bonne continuité des flux de sève, l’adoption des techniques de greffage douces et qualitatives est un gage de qualité primordial pour garantir la pérennité du vignoble et mener à bien une production à maturité.
La taille douce et respectueuse des flux de sève :
De la même manière que le greffage, la mise en place des bonnes pratiques de taille et d’ébourgeonnage respectant l’intégrité des vaisseaux conducteurs s’avère capitale dès la plantation pour assurer la longévité du cep et une maturation parfaite de la vendange. Le respect de quelques principes fondamentaux permet de limiter l’introduction des champignons pathogènes et de prévenir les maladies du bois.
Le procédé de la génodique :
La société Yann ABEILLE CONSULTANT est la correspondante de la société Génodics sur les vignobles du Sud-Est de la France.
Le procédé de la génodique, inventé et breveté par Joël Sternheimer, résulte de recherches en physique qui ont débouché sur des applications en biologie. Il permet de réguler la biosynthèse de protéines au niveau cellulaire et de stimuler les métabolismes de la vigne pour faciliter son adaptation à son environnement ou lui permettre de mieux résister à certains pathogènes.
Des suites de fréquences sonores spécifiques du vivant appelées « protéodies », permettent ainsi de stimuler ou d’inhiber la synthèse de protéines. Précisément définies par leurs fréquences, durées et intervalles, ces séquences de sons sont aptes à avoir un effet régulateur sur les processus biologiques concernés.
Purement physique, ce procédé ne nécessite l’ajout d’aucune molécule exogène et n’entraine ainsi aucune pollution. Cette solution innovante présente une réelle alternative, éventuellement complémentaire de la protection chimique, dans le respect de l’homme et de l’environnement. En termes de coût et de temps de mise en oeuvre, cette approche curative est compétitive par rapport aux autres solutions à la disposition des professionnels.